Au sujet des workshops en Polynésie : à Tahiti ou à Moorea
Te Tuamarama souhaite vous donner satisfaction. Nous devons donc connaître vos motivations.
Lorsque vous remplirez le formulaire en ligne de demande d’information, ou de commande de stage, utilisez le cadre « votre message » pour détailler vos attentes.
En particulier nous souhaitons savoir si vous achetez un stage pour agrémenter votre séjour en vous initiant à la danse tahitienne, ou en vous perfectionnant un peu.
Dans ce cas nous ferons le maximum pour vous faire passer des instants magiques en goutant la joie du Ori Tahiti.
Par contre, si votre séjour a pour motivation principale l’apprentissage de la danse, des percussions, de l’art du costume, de la culture traditionnelle polynésienne, nous vous recommandons de nous proposer vos dates afin de vérifier la disponibilité des enseignants de Te Tuamarama. Pour programmer plusieurs heures de stage en quelques jours, nous devons connaître vos intentions au minimum trois mois à l’ avance.
Organiser un séjour culturel n’est pas forcément chose aisée, et il est de loin préférable de réserver l’hébergement et les vols en fonction de l’emploi du temps de vos activités culturelles.
Les professeurs et les intervenants de Te Tuamarama sont des professionnels, ce qui veut dire que leur emploi du temps est souvent engagé 6 mois à l’avance.
Si vous réservez vos workshops au dernier moment, c’est à dire moins de trois mois à l’avance, il y a de fortes chances que nous ne puissions vous donner satisfaction.
A bientôt, nous nous réjouissons de vous accueillir et de vous faire partager notre merveilleuse culture.
Workshops danse fille
A Tahiti et Moorea, les workshops danse fille sont assurés par Joëlle. En son absence, Teruria Guillaume assure les cours. Comme pour tant de jeunes filles tahitiennes, la danse est une évidence pour Teruria. Inscrite dès l’âge de 8 ans au Conservatoire, elle y évolue pendant 9 années avant d’obtenir le diplôme d’études traditionnelles, qui couronne le cursus complet.
Teruria prend part au Heiva très tôt, alors qu’elle n’a que 15 ans et depuis, n’est jamais absente de ses festivités qui lui tiennent tant à cœur.
Elle participe à différents concours en tant que danseuse, répétitrice ou chorégraphe. Elle mène Toa Reva Taure’a au Hura Tapairu 2010 et remporte le 1er prix en ote’a ainsi que le 1er prix en aparima. De groupe en groupe, de pays en pays, fait partager son art.
Teruria a aussi poursuivi des études universitaires, Elle est titulaire d’un master 1 en lettres modernes. Teruria est aussi maman d’une merveilleuse petit fille.
Workshops danse garçon
Les workshops danse garçon sont assurés par Tuarii Tracqui. Tuarii commence à danser dans le groupe de Manouche Lehartel, Toa Reva, à l’occasion du Heiva 2007.
Touché par cet art, il s’inscrit au Conservatoire pour y suivre des cours de danse auprès de Mamie Louise, Moumoune et Vanina. Il s’initie aussi aux percussions et aux cordes et suit des cours de culture générale polynésienne. Il participe à différents concours en tant que danseur ou chorégraphe et remporte plusieurs prix.
En 2011, il obtient le 1er prix du ori tahito durant le hura tapairu. L’année suivante, il est sacré meilleur danseur du Heiva i Tahiti.
Tuarii est également étudiant à l’université, où il termine actuellement une licence de langue tahitienne.
Workshops percussion
Les workshops de percussion sont assurés par Libor Prokop, ou en son absence par André.
Libor est un musicien de formation classique depuis l’enfance, pianiste et guitariste avant d’aborder les percussions polynésiennes. C’est à l’âge adulte qu’il aborde les différents tambours, le didjéridoo, la flûte nasale. Libor a la maîtrise de l’ensemble des percussions traditionnelles dont les principales sont le toere, le tari parau, le faakete, le pahu, le ihara, etc. Il est néanmoins spécialisé dans la pratique du vivo et des pahu.
Depuis le début des années 80 Libor a été danseur dans le groupe de Temaeva, musicien batteur dans les groupes Heikura nui, O Tahiti e et Hei Tahiti en 2012. Il a également fait partie du groupe Fenua de Guy Laurens.
Enfin Libor est particulièrement actif au sein de l’association culturelle Haururu au sein de laquelle il mène des recherches sur tout ce qui entoure le marae, les notions d’espace et de temps dans la société traditionnelle, et les migrations polynésiennes.
Ateliers de fabrication de costumes
Les ateliers de fabrication de costumes sont en général assurés par l’association Te Pu Atiti’a.
Te Pu Atiti’a est une association culturelle qui œuvre à Moorea, en étroite collaboration avec la Gump Station, qui est la station de recherche dans le Pacifique de l’université de Berkley. Te Pu Atiti’a développe une approche originale, qui consiste à combiner les savoirs ancestraux et les méthodes scientifiques contemporaines, dans un objectif de développement durable. Parmi ses Membre Te Pu Atiti’a compte plusieurs « anciens », issus des cinq villages de l’île de Moorea. Ces « anciens » sont regroupés en conseil des sages, afin de garantir la transmission des savoirs traditionnels.
L’association a aussi des contacts avec de nombreuses associations environnementales et culturelles de Polynésie et d’autres pays du Pacifique.
Elle offre une plate-forme d’échange entre la science et les connaissances traditionnelles et joue un rôle important dans la sensibilisation communautaire.
Ses programmes visent aussi le maintien de la vitalité des connaissances au sein de nos communautés, en renforçant leur transmission entre les générations.
Les conférences sur la danse et la culture sont assurées par Joëlle, Teruria, Tuarii, ou Hinano de Te Pu Atitia.
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